JTB 2008 :Nico36 aux oubliettes ! (Jeu The Bull)
Suite au déplumage du Phiphi sur lédition 2007, le Nico36 avait récupéré le sceptre de roi des vétérans du JTB ! Certes il avait abordé lédition 2008 la couronne de traviole, suite à une magouillette vite déjouée par la patrouille en paquet, ruse qui lui aurait permis de grappillonner quelques pour cent à lassistance publique. Mais qui aurait cru quil entamerait lan nouveau de façon si catastrofric. 12% dans le sac à dos de moins-value dès la première semaine. Voilà le Nico changé en nilgaud. 8 valeurs sur 10 négatives et une 212ème position sur 238 : quel mangeage de bouée-canard dès lentame. Si cela continue Phiphi et Nakama vont refaire surface
Encore que dans un marché franchement baissier, on verrait davantage Labadie tirer son épingle du bâteau qui sombre !
JTB 2008 :Nico36 aux oubliettes !
par borges 2000 
, jeudi 10 janvier 2008, 21:42 (il y a 5958 jours) @ Bimbo
il n'y a quand meme que 14 positifs !!! c'est dingue ce debut d'année !
JTB 2008 :Nico36 aux oubliettes !
» il n'y a quand meme que 14 positifs !!! c'est dingue ce debut d'année !
Jeumamuse en tête, c'est trop bidonnant ! Le prophète Labadie qui point ... et le Borges 2000 qui pourrait apparaître dans mon blabla ponctuel 
J'adore ce jeu ! 
la victoire au bout du fusil
par Graham 
, vendredi 11 janvier 2008, 14:10 (il y a 5957 jours) @ Bimbo
Ce qui est bon et terrible à la fois, c'est cette odeur de souffre et de poudre sur les marchés, comme sur un champ de bataille. Cela frite, cela castagne. Il faut avoir les reins solides. Rester vif et alerte, lucide et placide. J'ai lu quelque part que si les descendants de la noblesse investissaient tant les professions financières, c'est justement en raison de ce rapport de la finance à la guerre.
Que sont amusant cet étonnement béat des anciens crédules et cette montée de la frousse au ventre. Comme j'aime cela. Le frisson, la fièvre. L'exaltation passionnée de la vie en quelque sorte. Quelques uns en misant leur épargne jouent les espérances d'une vie. Que de contre-vérités tant entendues une fois encore sont démenties. Hé bien, je ne peux pas m'empêcher d'aimer cela. Il y a tout à la fois une part de folie et une part de noble courage à se risquer sur les marchés financiers.
Que les meilleurs vainquent!
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Graham
la victoire au bout du fusil
» Ce qui est bon et terrible à la fois, c'est cette odeur de souffre et de
» poudre sur les marchés, comme sur un champ de bataille. Cela frite, cela
» castagne. Il faut avoir les reins solides. Rester vif et alerte, lucide et
» placide. J'ai lu quelque part que si les descendants de la noblesse
» investissaient tant les professions financières, c'est justement en raison
» de ce rapport de la finance à la guerre.
» Que sont amusant cet étonnement béat des anciens crédules et cette
» montée de la frousse au ventre. Comme j'aime cela. Le frisson, la fièvre.
» L'exaltation passionnée de la vie en quelque sorte. Quelques uns en misant
» leur épargne jouent les espérances d'une vie. Que de contre-vérités tant
» entendues une fois encore sont démenties. Hé bien, je ne peux pas
» m'empêcher d'aimer cela. Il y a tout à la fois une part de folie et une
» part de noble courage à se risquer sur les marchés financiers.
» Que les meilleurs vainquent!
Quel lyrisme, chevalier Graham !!! Dans l'attirance de la noblesse pour les marchés financiers, je vois aussi parfois un dessein morbide, l'attrait du vide, du néant. Le spiel sur les marchés financiers n'est-il pas la quintessence des métiers où l'on brasse du vent...
Désolé de me faire l'avocat du diable
la victoire au son du canon
Franchement, moi j'aime les périodes sanglantes comme maintenant.
C'est là où se font les vraies différences.
Un peu comme avec le Tourmalet ou le mur de Grammont (il y a pas mal de nordistes sur ce forum 
).
Londres parle aux français!
par Graham , samedi 12 janvier 2008, 00:37 (il y a 5957 jours) @ Bimbo
édité par Graham, samedi 12 janvier 2008, 00:40
Sans doute aussi.
Psychomanie se dégage souvent des intervenants. Euphorie puis neurasthénie.
En attendant, Londres parle aux français:
"le british chevalier a saisi son EPEE, s'en est allé aux PUBBS écouter un ptit'air de SOPRAno."